La recherche en contexte autochtone : responsabilités éthiques et juridiques

mercredi 5 novembre 2025, 09:00 à 10:30
Hybride
Gratuit Billets
Amphithéâtre du CRCHUM
900, rue Saint-Denis, 5e étage, salle R05.212B

Description


Le Comité EDI du CRCHUM vous invite à participer à une conférence qui abordera les responsabilités éthiques et juridiques des personnes chercheuses en contexte autochtone, incluant celles applicables aux partenariats avec des communautés ou organisations autochtones. Elle approfondira les fondements et l’application pratique de ces responsabilités, à la lumière notamment des droits des peuples et des personnes autochtones à l’autodétermination, à la gouvernance des données et à la sécurité culturelle. Les présentatrices s’appuieront sur des exemples concrets issus de la recherche en santé.

En présentiel et en ligne. 

Inscription obligatoire.

Présentatrices
Karine Millaire est professeure en droit constitutionnel et autochtone à la Faculté de droit de l’Université de Montréal. Ses recherches portent sur l'autonomie personnelle et collective, le consentement, la gouvernance et la décolonisation de la recherche en contexte autochtone ainsi que la mise en œuvre des droits et libertés en contexte de pluralisme normatif, incluant en matière de sécurité culturelle. Elle est membre du Centre de recherche interdisciplinaire sur la justice intersectionnelle, la décolonisation et l’équité (CRI-JaDE). Avocate depuis 2008, elle a notamment été conseillère à la Commission de la santé et des services sociaux des Premières Nations Québec-Labrador.


Annie Pullen Sansfaçon est vice-rectrice adjointe au Vice-rectorat au communautaire, à l’international et aux Premiers Peuples avec une responsabilité institutionnelle pour les relations Premiers Peuples, l’engagement et les méthodologies participatives. Elle est également professeure titulaire à l’École de travail social de l’Université de Montréal, et titulaire de la Chaire de recherche du Canada ReParE sur la recherche partenariale et l’autonomisation des jeunes vulnérabilisé(e)s. À travers ses travaux empiriques, elle s’intéresse aux approches anti-oppressives, à l’éthique et aux enjeux méthodologiques. Elle a cofondé et codirige toujours le Centre de recherche sur la justice intersectionnelle, la décolonisation et l’équité (CRI-JaDE).

Organisé par le comité EDI, direction de la recherche et de l'innovation, du CRCHUM.

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