Lancé en décembre dernier, le télescope spatial James-Webb, successeur du célèbre Hubble, a déjà dévoilé d’époustouflantes premières images!
Collaboration internationale entre la NASA, l'Agence spatiale européenne et l'Agence spatiale canadienne, ce télescope infrarouge de 6,5 m est sans aucun doute l'une des machines les plus complexes jamais construites par l'humain et le plus grand télescope jamais envoyé dans le cosmos.
Cette résolution et cette sophistication inégalées sont notamment attribuables aux nombreux appareils de pointe qui le composent, dont une caméra de guidage et un instrument scientifique mis au point par des chercheuses et des chercheurs de l’Institut de recherche sur les exoplanètes de l’Université de Montréal, sous la direction de René Doyon, professeur au Département de physique.
Ce nouvel observatoire spatial hors du commun permet de voir plus loin que jamais dans l’Univers, de scruter la poussière cosmique des galaxies et de découvrir et d’étudier de nouveaux mondes extraterrestres.
Quelles sont les attentes des scientifiques à l’égard de ce télescope? Que nous apprendra-t-il à propos des trous noirs? Quelle sera sa plus grande découverte? En quoi est-il un extraordinaire catalyseur de vocations scientifiques? Ce sont là quelques-unes des questions qui seront abordées à la 8e Conférence de la montagne, qui permettra, l’espace d’un instant, de quitter la Terre et d’aller au-delà de la Voie lactée.
Conférencier d’honneur : René Doyon, professeur au Département de physique de l’UdeM et directeur de l’Institut de recherche sur les exoplanètes
Panélistes : Julie Hlavacek-Larrondo et Nathalie Ouellette
Date : 28 septembre à 18 h
Lieu : Salle Claude-Champagne de la Faculté de musique
Animation : Éric Montpetit
Le Devoir est partenaire média de cette conférence.
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