Débute à 
220, avenue Vincent-d'Indy
Montréal (QC) Canada  H2V 2T2

ANNULÉ

Dans la foulée des directives formulées par le gouvernement du Québec en lien avec le coronavirus (COVID-19), la Faculté de musique de l’Université de Montréal suspend tous ses événements publics à venir, et ce, jusqu’au trimestre d’automne.  

La sécurité des étudiants, de l’équipe facultaire, du public et de nos collaborateurs est au cœur de nos préoccupations. 

Tous les détenteurs de billets pour les concerts de l'Orchestre de l'UdeM (4 avril) et du Big Band de l'UdeM (8 avril) seront remboursés. Ce remboursement se fera automatiquement sur la carte utilisée lors de l'achat dans les prochains jours. Si l'achat a été fait en personne (Interac ou argent comptant), des informations concernant le remboursement suivront.

L'Université de Montréal suit la situation de près et nous vous tiendrons informés de la suite des événements. Des consignes concernant les aspects académiques, notamment, sont mises à jour régulièrement et nous vous demandons de demeurer à l’affût. Vous pouvez en tout temps consulter le site web https://urgence.umontreal.ca/ pour vous renseigner sur l'évolution des mesures prises par l'Université afin de minimiser la propagation du COVID-19 et sur les consignes d’hygiène recommandées. 

Jean-François Rivest, direction

Programme :
Ludwig van Beethoven, Symphonie no 3 en mi bémol majeur « Eroica »
Richard Strauss, Metamorphosen
Richard Strauss, Sérénade pour vents en mi bémol majeur
Richard Strauss, Der Rosenkavalier, suite

Le mot du directeur artistique :
« Une grande arche, définie par l’esprit humain et non le simple ordre chronologique, relie le début et la fin du Romantisme représentés dans ce concert de clôture. La Symphonie « Eroica » de Beethoven (1805) étonne le public de son temps encore habitué au pur divertissement, alors que Metamorphosen de Richard Strauss (1945) s’avère l’émouvant constat d’une Europe essoufflée, détruite, qui ne sera plus jamais la même.

L’absolu romantisme de Metamorphosen, sous-titré « Étude pour 23 cordes », est aussi une sorte de déploration sur la destruction de l’Opéra de Munich, au terme de la guerre. Et comme pour boucler la boucle, son riche tissu contrapuntique aboutit à une dernière ligne de basse évoquant la Marche funèbre d’ « Eroica », cette œuvre qui avait été à l’origine de la mouvance romantique, laquelle durera presque un siècle et demi (Strauss marque ce passage « In Memoriam », en mémoire de Beethoven). Dans les deux œuvres, c’est la vision du monde de leurs créateurs qui domine, concept au cœur même du romantisme. La Sérénade pour vents et la suite tirée de l’opéra Der Rosenkavalier de Strauss, œuvres de jeunesse et de maturité respectivement (une deuxième arche dans ce concert), viennent en compléter la gamme d’expression. » - Jean-François Rivest

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ANNULÉ - Orchestre de l’Université de Montréal (OUM) - Totalement romantique