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Information et billets

Prix: 25$
(QC) Canada

Nous avons souvent, inconsciemment et malgré les belles intentions, été vaccinés contre le bonheur par un double vaccin. Première injection : « on n'est pas là pour rigoler ». Deuxième injection : « il faut être heureux quand même ». Nous sommes ainsi plus souvent pris au piège : tétanisés ou déchirés entre le bonheur interdit et le bonheur obligatoire. Identifier ce piège dans nos vies et le démonter ne sera pas confortable à vivre.

Cette conférence nous invite à comprendre différents pièges anti-bonheur dans lesquels nous sommes pris malgré nous et à accueillir quelques inconforts incontournables sur la route du bonheur. Comme par exemple : accepter l'inconfort de transformer ce qu'il y a à transformer, l'inconfort de lâcher ce qu'il y a à lâcher, l'inconfort de faire le deuil de ce qui n'est pas ou n'est plus. Ceci est une invitation à comprendre qu'être heureux, ce n'est pas résister aux mouvements de la vie, c'est tenter d'y trouver, en et à travers eux, l'équilibre et la grâce.

Thomas d'Ansembourg a été avocat et conseiller juridique. Parallèlement, il s'est engagé pendant près de 10 ans comme responsable-animateur d'une association qui s'occupe de jeunes en difficulté. C'est en écoutant ces jeunes qu'il a pu se rendre compte que la plupart de leurs comportements souvent considérés comme déviants représentent l'expression tragique de besoins fondamentaux (identité, tendresse, reconnaissance …) qui n'ont pas trouvé d'autre mode pour se dire. Formé à différentes approches psychothérapeutiques, particulièrement à la méthode du Dr Marshall Rosenberg, la Communication Non-Violente , il anime des formations et donne des conférences dans le monde entier. Il est l’auteur de Cessez d’être gentil, soyez vrai (Les éditions de l’Homme,  2001 et, en version illustrée, 2014), Être heureux, ce n’est pas nécessairement confortable (Les éditions de l’Homme, 2004) et  « Qui fuis-je ? Où cours-tu ? A quoi servons-nous ? Vers l’intériorité citoyenne. » (Les éditions de l’Homme, 2008)

Être heureux, ce n’est pas nécessairement confortable
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