La Faculté des sciences de l’éducation gagne l’un des prix 2016 pour le soutien à la réussite étudiante pour ses mesures destinées à accroître le nome de candidats aux bourses des cycles supérieurs.
Article sur UdeM Nouvelles par Mathieu-Robert Sauvé
La Faculté des sciences de l’éducation gagne l’un des prix 2016 pour le soutien à la réussite étudiante de l’Université de Montréal pour avoir instauré des mesures destinées à accroître le nombre d’étudiants aux cycles supérieurs qui reçoivent une bourse. Le financement intégré au doctorat (FID), qui a peu d’équivalents ailleurs à l’UdeM, repose sur un concours annuel qui permet de sélectionner des cohortes de huit boursiers. Chacun recevra pendant trois ans une bourse d’une valeur minimale de 5000 $ (6000 $ pour les étudiants étrangers) et obtiendra des contrats de travail atteignant généralement 10 000 $ ou plus à la faculté. «En développant de nouvelles mesures de soutien pour la préparation des demandes de bourses, la faculté a choisi l’approche “sur mesure” de l’accompagnement individualisé […] Elle n’a pas limité ces mesures aux boursiers du programme FID : elle les a étendues à l’ensemble des doctorants et aux étudiants inscrits à la maîtrise de recherche, peut-on lire dans le document de présentation de la candidature. Elle ne les a pas limitées non plus aux concours des grands organismes : progressivement, elle les a étendues aux autres principaux concours de bourse externes et institutionnels.»
Les résultats sont très positifs, puisque de nombreux étudiants, qu’ils bénéficient ou non du programme FID, se sont vu accorder des bourses externes et internes en raison de la bonification des mesures de soutien mises en place par la faculté.
De leur côté, les étudiants sont ravis du soutien facultaire. «Les services de relecture des demandes de bourses m'ont énormément aidé à obtenir la prestigieuse bourse de FRQSC [Fonds de recherche du Québec–Société et culture]. J'ai reçu, à plusieurs reprises, de la rétroaction et des suggestions qui m'ont permis de préparer une demande remarquable», témoigne par exemple un étudiant de troisième cycle.